Cinq ans après le début de la pandémie de Covid-19, les deux principales hypothèses – commerce illicite d’animaux sauvages, accident de laboratoire – restent en balance.

Selon les derniers chiffres de l’Insee, la capitale a perdu 0,9 % de ses habitants entre 2021 et 2022, confirmant une tendance à la baisse enclenchée en réalité dès les années 1950.

Dans cette commune de l’Essonne de moins de 7 000 habitants, l’édile dispute le terrain aux dealeurs pour « contrarier le trafic ». Tous les deux mois, une opération de grande envergure est menée pour quadriller le quartier et tenter de débusquer drogues, planques et argent liquide.

Transformer son appartement en point relais, faire du covoiturage avec des colis ou les vendre pour d’autres personnes… Les services alternatifs à la livraison classique se multiplient et permettent aux très petits revenus d’arrondir leurs fins de mois.

Les plateformes proposant des services de livraison ultrarapide sont en plein boom dans le pays le plus peuplé du monde, où elles peuvent recruter de façon quasi illimitée leur main-d’œuvre. Ce bouleversement déstabilise les petites boutiques traditionnelles.

Après avoir fait officiellement sept millions de morts, le virus SARS-CoV-2 est devenu moins dangereux, même s’il reste plus létal que la grippe.

Le gouvernement a fait réaliser, comme le demandait la loi ELAN de 2018, un bilan d’application de ces habitations, qui peuvent être rendues accessibles à tous par des « travaux simples ». Mais il ne l’a pas communiqué comme prévu au Parlement.

A peine nommé, l’ex-sénateur Les Républicains des Alpes-Maritimes a dû gérer la mort d’un conducteur de TGV la veille de Noël. Ses premières déclarations ont heurté de nombreux cheminots, alors même que M. Tabarot avait déjà une image d’adversaire du service public ferroviaire parmi les syndicats de la SNCF.

En difficulté sur l’électrique, les marques automobiles chinoises portent leur effort sur les véhicules à double motorisation, épargnés par le durcissement des droits de douane à l’entrée dans l’Union européenne.

Région la plus attractive de France, dans le sillage de Toulouse et Montpellier, la démographie occitane ne cesse de croître. Si élus et acteurs économiques se félicitent de ce dynamisme, cette attractivité pose de nouveaux problèmes. En premier lieu, celui du logement.