En 6ᵉ et 5ᵉ, les cours de mathématiques et de français sont organisés par groupes, une mesure du « choc des savoirs » de l’ancien ministre de l’éducation Gabriel Attal. Des groupes de niveau, rebaptisés « groupes de besoins » par Nicole Belloubet, qui recommande d’appliquer la mesure avec souplesse, n’existant, en pratique, pas partout.